Le pauvre Jean-bouteille, il a beau absorber, absorber il n’en peut
plus. Il est malade, il ne peut plus rien avaler, sa tête tourne lorsqu’il voit les Saint-Lysiens venir déposer du verre à ses pieds.
Parce qu’il n’a plus la force, ni la capacité de faire son travail correctement, il fait un burn out.
Il n’en veut pas aux Saint-Lysiens qui déposent les bouteilles à ses pieds, c’est à sa hiérarchie qu’il en veut. Personne ne vient le voir, il est transparent ! Pas la moindre visite d’un responsable, il se sent abandonné.
Il a beau écouter, à longueur de journée, pas le moindre bruit moteur annonçant l’arrivée du camion de collecte.
Et, le soir venu, il s’endort tout seul avec son désespoir !